Dans l’appréciation et les critiques que nous faisons de la gouvernance du pays, il y a une large part de subjectivité. C’est même une appréciation essentiellement subjective. Elle se rapporte en effet au ressenti personnel, aux intérêts personnels, de famille, de groupe, de voisinage, de région…chacun donne ses bons et ses mauvais points en fonction de considérations purement égoïstes. De sorte que, à la fin, on en revient toujours au centres d’intérêt de celui qui s’exprime. En définitive, c’est la parole qui transfigure un fait en bien ou le tourne en mal. William Shakespeare nous avait instruits à ce sujet « Rien en soi n’est mauvais, rien en soi n’est bon. Tout dépend de ce qu’on en pense ». Moralité : personne n’est plus patriote que personne.
Anicet