La réputation d’homme sans parole et de traître d’Adrien HOUNGBEDJI vient d’être confirmée par son attitude récente. Sa correspondance avec le ministère de l’Intérieur dévoile sa volonté de se détourner de l’Union Progressiste et de maintenir son parti le PRD, malgré la fusion.

Pour se défendre, il a mentionné la date de reconnaissance du parti UPR, antérieure à celle de l’obtention du récépissé définitif du PRD, laissant supposer qu’il n’y a pas eu de dissolution du PRD. Cependant, en mettant en pièces jointes certains actes et décisions, il a omis de citer une décision cruciale et récente de la Cour Constitutionnelle, la DCC 25-071 datant du 6 mars 2025. Celle-ci dispose clairement que l’UPR prend la relève juridique de l’UP et du PRD. Le deuxième paragraphe de la page 7 de la décision dit : « Qu’en succédant à l’UP et au PRD, l’UP-R les subroge dans leurs droits et obligations »
Adrien HOUNGBEDJI, connu pour ses trahisons envers les présidents Soglo, Yayi, Talon et aujourd’hui le chef de parti Joseph Djogbenou, semble favoriser un agenda personnel au détriment du développement de Porto Novo.
En effet, le régime actuel a construit plus de routes et d’infrastructures à Porto Novo que n’importe quel autre régime précédent. Le coup de poignard de HOUNGBEDJI envers un parti politique qui soutient les actions du gouvernement ne peut s’expliquer que par la poursuite d’intérêts personnels. Les décisions de la Cour sont sans recours, et Adrien HOUNGBEDJI, en tant qu’avocat, le sait très bien. Subroger signifie substituer une personne ou une chose à une autre en lui conférant le même régime juridique.
Amoudaliou Moussa