Un visionnaire pas très optimiste, a analysé que, si le nouveau départ doit maintenir son cap, il est impératif que le candidat du camp présidentiel remporte le prochain scrutin par K.O. dès le premier tour. En considérant les silences contraints, les visites muettes et les préparatifs discrets de l’opposition d’une part, la versatilité ainsi que la sournoiserie très naturelles chez les hommes politiques de tous bords d’autre part, point n’est besoin de sortir de sciences Po. pour lui donner raison. En réalité, le cataclysme de l’échec ne dépendra pas des adversaires identifiés et connus, qui se préparent à l’affrontement, à visage découvert. L’inconnue de l’équation à résoudre a les différents visages de la fourberie, de la cupidité et de la déloyauté qui couvent dans la mouvance présidentielle. En vérité, si le K.O. n’est pas assuré au premier tour en 2026, ce sera le chaos dans la famille Rupture.
Anicet