Qui aurait vendu aussi cher l’avenir du freluquet illuminé qui, à l’université, tapissait toutes les surfaces disponibles de son “Hebdo mural”, caractérisé par un humour infalsifiable mais dont le contenu était violemment pointu. Il en voulait déjà et il suffisait de le fréquenter pour le savoir. Sa carrière subséquente dans le monde des Médias privés demeure un modèle. Aujourd’hui Président de la HAAC, il a atteint à la fois, le dernier palier dont peut rêver un professionnel et le dernier grade de réception dans l’ordre des distinctions honorifiques. Un parcours assez exceptionnel pour être salué. Mais quand on se prénomme ÉDOUARD (qui signifie Gardien du trésor), qu’on est COCOU, né un mercredi (jour des grâces abondantes qui durent) et qu’enfin, on appartient à une grande descendance qui s’identifie à Iroko (LOKO), qui pourrait s’en étonner ? Et que pourrait-on faire d’autre que de célébrer Édouard Cocou LOKO, grand-Croix !