Tout est cher. C’est surtout compliqué pour nous, jeunes. Faire le marché actuellement est stressant. Il y a une flambée du prix de toutes les denrées alimentaires : voandzou, riz, huile d’arachide. Même le gari a doublé de prix. Il est actuellement impossible de préparer la sauce avec un billet de 5000 FCFA et espérer un reliquat. C’est grave. Si les choses venaient à continuer dans ce sens, que ferions-nous dans cinq ans ?
Sincèrement avec cette cherté, on survit au jour le jour. Quand tu manges aujourd’hui, tu commences à te poser des questions sur comment faire le lendemain pour avoir de quoi manger. Je prie les autorités à divers niveaux de penser au peuple et de trouver une solution. »