Ange M’poli M’TOAMA
Les ministres conseillers étaient fascinés, littéralement hypnotisés par ce qu’ils ont découvert. Ils n’en croyaient pas leurs yeux devant le miracle industriel. C’était en somme l’attitude des ministres conseillers en visite ce 17 février 2025 à la GDIZ. Une visite marquée par l’émerveillement devant un modèle économique en pleine effervescence. Accompagnés de l’équipe dirigée par Létondji Béhéton, ils ont arpenté les allées de ce pôle industriel béninois. Un lieu où chaque recoin semble respirer le progrès, un véritable modèle économique en pleine effervescence. Du textile à la transformation du cajou, en passant par la production de carreaux, chaque étape de leur visite a été impressionnante. Les usines, aujourd’hui solidement implantées, se multiplient et témoignent de la rapidité du développement de la zone.
Le Directeur Général de la GDIZ se félicite aujourd’hui des réussites sous le leadership du président Patrice Talon, qui a permis la création de la GDIZ, une plateforme pour transformer les produits agricoles locaux directement au Bénin. il a pris le temps de répondre aux préoccupations des visiteurs lors de leur passage en soulignant l’importance du projet, un pilier majeur de l’ambition du gouvernement béninois pour le développement économique du pays. Le premier responsable de la Zone industrielle a partagé les perspectives de création de milliers d’emplois, grâce à l’ouverture de nouvelles unités industrielles dans les mois à venir, consolidant ainsi la GDIZ comme un modèle de développement industriel.
Les ministres conseillers n’ont pas manqué d’éloges pour cette prouesse réalisée en peu de temps. Janvier Yahouédéou, coordonnateur du collège des ministres conseillers, ne cache pas son admiration. « Ce joyau industriel est une démonstration parfaite de la vision du président Patrice Talon. Grâce aux réformes audacieuses et à des investissements stratégiques, notre pays s’impose comme un acteur industriel majeur. Ce n’est pas qu’une question d’exportation, mais aussi de création d’emplois », explique-t-il. La GDIZ, selon lui, a déjà permis la création de 14 000 emplois, un chiffre qui pourrait atteindre 35 000 d’ici la fin de l’année. L’industrie textile, avec son coton local, constitue l’une des plus grandes fiertés de la zone. Des produits allant des serviettes aux nappes sont désormais fabriqués au Bénin, et sont même exportés vers les grandes marques américaines et européennes. « L’économie béninoise rayonne grâce à cette initiative », déclare le coordonnateur
Sèdami Fagla Mèdegan, ministre conseillère en charge de l’enseignement supérieur, se montre tout aussi enthousiaste. « Voir nos enfants transformer notre coton en t-shirts qui parcourent le monde est émouvant », souligne-t-elle. Pour elle, la GDIZ est la promesse d’un avenir meilleur pour les jeunes béninois. Elle invite cette jeunesse à s’informer sur les opportunités offertes par le gouvernement. La plateforme de l’ANPE et le projet Azoli sont des clés pour intégrer ces nouvelles industries. Les visiteurs ont aussi eu l’occasion de découvrir les perspectives d’emplois à venir. Une trentaine d’entreprises devraient prochainement s’installer dans la GDIZ, avec des unités créant des milliers d’emplois. Une aubaine pour les jeunes du pays. Mais au-delà des mots, l’accent est mis sur l’impact réel des efforts des producteurs locaux. « Grâce à eux, non seulement nous générons des emplois, mais nous contribuons également à la croissance de notre économie », conclut Fagla Mèdegan. Rachidi Gbadamassi, ministre conseiller en charge de la sécurité, de la défense et de la gouvernance locale, n’a pas été moins impressionné. Il a magnifié le porteur du projet.
« Quand on demande la définition du développement, il y a une seule personne qui a la réponse. C’est le Président Patrice Talon. Un homme de vision », affirme Rachidi Gbadamassi. Lors de la visite, il a exprimé son admiration pour ce projet unique en son genre. « J’ai eu la chance d’animer la vie politique depuis 20 ans, et même si on est contre le lièvre, il faut reconnaître ce qui est pour lui », déclare-t-il. Selon l’ancien député, ce qui se passe à la GDIZ incarne le véritable développement, fondé sur l’égalité des chances et une main-d’œuvre diversifiée. « Ici, j’ai rencontré des jeunes Béninois, du nord au sud, de l’est à l’ouest, qui travaillent ici. C’est un bien national », ajoute-t-il. Il souligne aussi la stratégie de recrutement transparente, sans favoritisme, comme un modèle à suivre. Le ‘‘taureau’’ de Parakou invite la classe politique, toutes tendances confondues, à visiter la GDIZ pour comprendre l’ampleur du projet. « Ce qu’a réalisé le président Talon, c’est ce que nous attendions depuis des années », conclut-il. Pour lui, l’unité politique autour de cette vision est essentielle pour célébrer les progrès du pays.
La visite à la GDIZ s’est donc soldée par un réel constat de la transformation du Bénin en pôle industriel. Une dynamique soutenue par les réformes du président Patrice Talon, qui se traduit par un avenir prometteur pour l’économie nationale.
